J’ai posé mon journal sur la table
J’ai posé mon journal sur la table et je me suis dit que le marais qu’est mon esprit, dès qu’il cesse d’être labouré par des rames, ondule lentement comme la mer sous la lumière. Alors cette vie pénible et sans beauté retrouve son éclat, et moi, ma hâte fébrile de profiter du jour à venir.
DIMANCHE 26 AVRIL